Quête: Bataille des Raïs.

Leur voyage dura plusieurs jours néanmoins Ledwin ne vit pas passer les jours et il en fut presque surprit lorsqu’ils arrivèrent, avec Lola, devant la Citadelle. Ledwin n’était aller qu’une seule fois à la Citadelle mais c’ était il y tellement longtemps maintenant. A vrai dire il ne s’en rappelait que très vaguement, certains lieux étaient rester gravés dans sa mémoire mais il savais qu’il avait oublier beaucoup de détails. Peut-être que cette mission lui permettrait d’en retrouver quelques-uns. Le paysage était magnifique du départ à ici, mais le jeune Dessinateur n’avais d’yeux que pour la ravissante rêveuse qui l’accompagné. Durant les quelques jours de voyage, il avait pu se rendre compte à quel point elle était réellement extraordinaire, surtout pour son jeune âge. Mais aujourd’hui leur quête aller prendre un tournant décisif, soit ils participeraient à cette bataille soit ils devraient rentrer à la Capitale de l’Empire.
Une fois dans la Citadelle, Ledwin laissa vagabonder son regard mais celui ci revenait obstinément vers Lola qui a présent s’étirait près de son cheval. Une fois cela terminé ils se dirigèrent vers un petit groupe de Frontaliers. Et ce fut Lola qui engagea la conversation.

-Bien le bonjour ! Nous venons pour vous aider dans votre quête ! Je suis Lola, une rêveuse, et voici Ledwin, un dessinateur.

Le plus imposant des Frontaliers les regarda à tour de rôle très surpris. Il fallais bien avouer que l’aide envoyé n’était pas celle à laquelle ont été forcement habituer, une jeune rêveuse de 14 ans accompagnée du Chef des Dessinateur qui lui avait à peine 20 ans et qui n’avais pas vraiment le physique d’un grand combattant. Mais Ledwin et Lola comptaient bien leur prouver qu’ils ne seraient pas inutile dans cette bataille. Probablement mal à l’aise par rapport au regard que lui portait le grand Frontalier Lola partis simplement vers un endroit qu’il ne voyais pas d’où il était, le laissant seul avec la bande de Frontaliers. Il descendit donc de son cheval et s’approcha sous l’œil méfiant des guerriers.

-Comme elle vous l’a dit je suis Ledwin, c’est moi qui suis à la tête de l’Académie d’Al-Jeit. Je sais que vous pensez que nous vous serons d’aucune utilité lors des batailles, mais laissez nous au moins vous prouvez ce que nous vallons réellement. J’ai déjà pu observer Lola rêver et je peux vous assurez qu’elle sauveras beaucoup de Frontaliers lorsqu’il le faudra. Et nous ne sommes plus à notre première quête, je suis un très bon Dessinateur et j’apprend très rapidement à me servir des armes.

Il n’était pas sûr de les avoirs convaincu mais leur regard avec déjà changé ce qui était, vu la situation, un bon signe. Lola choisit se moment là pour revenir parmi eux, et bien sûr elle ne revenait pas les mains vide. Et c’est le plus naturellement du monde qu’elle leur tendit le bouquet de fleurs qu’elle avait été cueillir.

-Tenez, bande de râleur.

Ledwin fit de son mieux pour s’empêcher d’exploser de rire en voyant la tête que faisait les Frontaliers, eux les puissant guerriers de l’Empire ne savaient pas comment réagir fasse à un malheureux bouquet de fleurs.

-Et tu veux qu’on fasse quoi de ça ?

Il vit Lola observer attentivement ses fleurs, elles étaient très jolies bien que Ledwin préféré celle qu’il avait reçu de Lola lors que leur rencontre à Tintiane.

-Les…mettre dans un vase…Et puis, ben, ça peut ajouter un peu de joie dans vos durs cœurs de pierre…

Ledwin se demanda soudain si c’était une bonne idée que d’offrir un bouquet de fleurs à des Frontaliers auxquels ils étaient sensés prouver qu’ils pourraient s’avéraient utiles dans une bataille. Mais malgré cela il ne pu s’empêcher de sourire à Lola lorsque celle ci guetta sa réaction. Les Frontaliers se mirent bientôt eux aussi à rire gaiement avant de reprendre leur expressions de grand guerriers de l’Empire.

-Bon, si vous êtes en forme, vous pouvez déjà nous aider à combattre ses foutus Raïs…

Lola et Ledwin hochèrent de la tête en même temps, leur quête commencé a partir de cet instant. Les Frontaliers leur fit signe de les suivre, ce qu’ils dirent presque aussitôt. Ils traversèrent ainsi toute la Citadelle, les Frontaliers leur ouvrant le passage s’arrêtaient parfois pour mettre leurs camarades au courant de la mission que Lola et lui avait reçu. En moins de trente minutes ils arrivèrent face à leur prochain champs de bataille.

-Voilà c’est ici même que les combats ont principalement lieux. Ce soir nous n’aurons rien à craindre nous allons vous montrez vos quartiers et demains vous pourrez entrez dans le feux de l’action ! Leur annonça l’un des Frontaliers, un sourire pendu aux lèvres.

Ledwin observa discrètement Lola, demain tout commencerais, c’est dès demain qu’ils devraient tout deux faire leur preuves et surtout rester en vie. En plus de cela il n’avais pas la moindre idée de quand ils quitteraient la Citadelle, mais une chose était sûre, ils ne la quitteraient que lorsqu’ils auront aider le plus possible les Frontaliers.
Ils firent demis tour et pénétrèrent à l’intérieur de la fameuse Citadelle. Rien n’avais changé, tout étaient rester exactement dans ses souvenirs. Ils prirent un dédalle de couloirs pour pouvoir atteindre leurs chambres, pendant un moment le Dessinateur se demanda si le but n’était pas plutôt de les perdre dans la ville. Mais ce fut avec un grand soulagement qu’il fini tout de même par voir les chambres qui leur avait été attribuées. Celle de Lola et la sienne étaient l’une à côté de l’autre, ce qui tomber bien puisqu’il ne savait même plus où était la sortie.

-Bon on va vous laisser vous installer, nous on va aller s’occupé de la vermine , leur annonça le grand Frontalier avant de faire demis tour laissant Lola et Ledwin, seuls devant leurs chambre.

-Je vais ranger mes quelques affaires mais que dirais-tu d’aller m’accompagner pour observer le reste de la Citadelle juste après ?

Ledwin voulait avant tout connaître l’endroit qu’ils devraient aider à défendre, comment défendre un endroit inconnu ? C’était trop difficile surtout pour un Dessinateur et une rêveuse et mieux valait jouer la carte de la prudence.


[Hors RP ; j’était extrêmement long pour écrire cette suite mais pour compenser un peu ce retard j’en ai fait un déjà un peu plus long que les précédents.]

Les Frontaliers les emmenèrent dans leur chambre, en passant par des couloirs et des salles toutes plus jolies les une que les autres. Enfin, cela dépendait de certaines. Et cela dépendait des goûts. Parce-que, pour Lola, c’était des goûts immondes. Un peu trop…bourrins. En fait, les salles étaient plus moches les une que les autres.

Ils emmènent donc la mini-troupe composée d’un dessinateur et d’une rêveuse dans leur chambre. Lola se retenait de faire des commentaires désobligeant, et avait déjà peur de l’endroit où elle allait dormir…

-Bon on va vous laisser vous installer, nous on va aller s’occupé de la vermine !

Lola faillit répliquer « ravi de le savoir » mais s’abstint. Sinon, ils allaient s’énerver sur elle et cela se serait fini en bagarre. Mais bon. Ils avaient raison , ils devaient tuer ces satanés raïs. Mais la vision de la guerre dégoûtait Lola. Mais le fait de pouvoir soigner des personnes l’enchantaient. Pouvoir guérir un homme de la mort…Peu le comprenait, mais c’était magique. Magnifique. Beaucoup de rêveurs, lors de leur premier « sauvetage » pleurait.
La jeune rêveuse perdue dans ses pensées, hocha distraitement la tête quand les frontaliers partirent.

-Je vais ranger mes quelques affaires mais que dirais-tu d’aller m’accompagner pour observer le reste de la Citadelle juste après ?

La jeune fille ne put s’empêcher de sourire. « Que dirais-tu de m’accompagner ? » Que c’était mignon ! Oh oui, bien sur qu’elle voulait l’accompagner ! Quelle question. Bien sur que oui qu’elle voulait l’embrasser. AH, pardon ? Ce n’est pas ce qu’il a dit ?
Lola devint subitement rouge, comme prise en flagrant délit. Comme si Ledwin avait réussi à lire ses pensées. Elle se tourna vers la porte, et répondit :

-Oui, c’est une excellente idée que tu as là ! Je veux bien t’embras…t’accompagner. Je te rejoins ici, devant nos chambres dans une heure, le temps qu’on se repose un peu.

Elle lui offrit un merveilleux sourire puis, soudain extrêmement gênée, ouvrit la porte et la referma derrière elle vite fait.

Lola resta un moment à contempler la pièce dans laquelle elle se trouvait à présent. Bon, elle devait l’admettre, ce n’était pas moche. Les murs d’un ton jaune doux, le sol en pierre et le grand lit avec tous les coussins étaient agréables. La pièce d’à côté avec la grande baignoire aussi. En fait, c’était hyper beau. La seule pièce qu’elle aimerait fréquenter dans la citadelle, sans doute.
Lola regarda ses quelques affaires, puis aperçut la petit commode en bois, vide, qui attendait que ses habits ou ses objets se posent sur elle. Ce qu’elle fit, donc.

Après quelques minutes, Lola eut fini de ranger et se laissa tomber sur son lit. Qu’elle était fatiguée. Le voyage fut long et ses fesses avaient souffert, mais le fait d’être restée près de Ledwin compensait tout. Elle avait aimé leurs conversations, leur échange de sourire, leur ébahissements devant certains paysages. Tout lui plaisait en lui. Sa façon de rire, sa façon d’hausser un sourcil, quand il se demandait quoi. Sa façon d’être, son sourire, ses cheveux, ses mains, ses yeux. Tout. Devenait-elle amoureuse ? Avait-elle rêvé ou l’avait-il regardé sans cesse le long du chemin ? C’est sur ses pensées que Lola s’endormit.

Elle se réveilla en sursaut, se demandant où elle était. Lola se reprit vite, puis se décida à prendre son bain. Cela ne lui ferait pas de mal. Et puis, si elle devait rejoindre Ledwin, autant qu’elle sente bon, et non le cheval…
La jeune rêveuse se laissa donc glisser dans l’eau chaude, et se lava avec énergie. Elle ne devait pas sentir mauvais, bon sang !! Sinon, le jeune homme allait lui parler avec ses doigts sur son nez. Pas très agréable.
Elle se rhabilla avec des vêtements propres, et entendit un léger tambourinement à sa porte.

-Ouiiiiii ?

-C’est moi, fit Ledwin.

Elle s’approcha de la porte, remit en place ses cheveux et ouvrit, sourire aux lèvres. Il s’était lui aussi arrangé, et il en était d’autant plus craquant.